Appel de projets

Aménagement d'un jardin comestible à partager

La Ville de Victoriaville crée un programme de subvention pour l'aménagement de nouveaux jardins comestibles à partager sur son territoire.

La date limite pour déposer un projet est le 25 avril 2025.

L'adresse du projet

 

 

Critères d'admission

1. La période visée pour la réalisation des projets est la saison 2025
   
   
2. Le porteur du projet doit être une organisation à but lucratif ou à but non lucratif dûment inscrite au Registraire des entreprises du Québec ou une institution (CIUSSS, centre de services scolaire, école, etc.) légalement constituée.
   
   Dans le cas d’un groupe de citoyens, le projet devra être chapeauté et endossé par une organisation légalement constituée.
   
   
3. Tout type d’aménagement doit obligatoirement viser la production d’aliments et être cultivé biologiquement.
   
   
4. La production de fines herbes, de plantes médicinales, de petits fruits, de fruits ou de noix peut être considérée admissible si elle est un complément à la production d’aliments.
   
   
5. Le projet doit avoir une durée de vie minimale de quatre (4) ans.
   
   
6. La production ne doit pas être commercialisée (aucune vente).
   
   
7. Le projet ne peut viser le remplacement ou la restauration de jardins comestibles existants.
   
   
8. Mettre en place au moins une des actions suivantes qui agit sur les conditions de vie des citoyens :
   1. Organiser des activités de rencontres et d’échanges entre les participants, permettant de briser l’isolement;
   2. Réserver des espaces pour des personnes ou groupes en situation de vulnérabilité;
   3. Offrir un volet pédagogique ou éducatif permettant d’améliorer les connaissances et les compétences en alimentation;
   4. Transformer les récoltes et distribuer les denrées à des personnes ou des groupes en situation de vulnérabilité, etc..
   5. Avoir une portion du jardin ouverte au public.
9. Nonobstant les dispositions de la présente section, n'est pas admissible au Programme l'entreprise qui :
   1. N'a pas acquitté l'ensemble des taxes municipales applicables à l'égard des immeubles qu'il détient sur le territoire de la Ville de Victoriaville,
   2. A des dettes impayées à l'endroit de la Ville, telles que des arrérages, des tarifs, des compensations, une amende ou des frais divers

Documents requis

Une demande de subvention pour l'aménagement d'un jardin comestible à partager doit être accompagnée des documents suivants, qui en permettront l’analyse.

Tous les documents peuvent être fournis électroniquement à partir du formulaire de demande.

 

Plan d'aménagement du jardin 

Un plan d’aménagement ou un croquis du jardin respectant le zonage en vigueur.

 

Résolution du conseil d'administration de l'organisme 

Ou lettre d’une personne en autorité autorisant le dépôt de la demande et l’utilisation du terrain pour une durée minimale de 4 ans.

 

Budget prévisionnel 

À partir du modèle de classeur Excel fourni.

Télécharger le modèle

 

Lettre attestant d'un partenariat 

Avec un organisme du milieu oeuvrant en sécurité alimentaire pour le partage des récoltes, s'il y a lieu.

 

Photos du site d'aménagement 

Des photos du site sont requises.

 

Procuration ou offre d'achat/acte notarié 

Si le demandeur n'est pas propriétaire de la propriété visée par la demande.

 

Quelques témoignages

« L’aide financière de la Ville de Victoriaville a permis aux enfants de se rapprocher de l’agriculture en observant le cycle complet de la croissance des plantes. Ce projet a éveillé de petites passions et rendu l’agriculture accessible dès le plus jeune âge! »

• Cynthia Houle, directrice adjointe à la pédagogie à Hoplavie.

« Forts de notre expérience dans la mise en place de jardins comestibles, à l’été 2024, nous avons eu le plaisir de participer à ce projet soutenu par la Ville de Victoriaville, qui a permis de créer un espace de partage et de sensibilisation à l'agriculture urbaine. Cette initiative a renforcé notre engagement envers la promotion de pratiques durables et la solidarité communautaire. »

• France Gagnon, directrice générale de l’organisme Parcours